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Indru peuple
3 juin 2016

FRPI un groupe des milices armé qui créent un climat d' insécurité, grandissante, au Sud du térritoire d' Irumu

La présence du groupe FRPI dans la Chefferie des Walendu-Bindi, est une casse tête pour la population de cette parti du térritoire d' Irumu. Malgré la poursuite des traques, les miliciens, sont loin d’en finir, avec leurs abus dans l' entité, des Walendu-Bindi. La situation sécuritaire, et sociaux économique, est très préoccupante déduis plus de dix ans. La Population victime des plusieurs éxactions dela part de ces hommes armée. Aujourd' hui, on dénombre plus de cent mille personnes qui ont, abandonné, leurs habitations, suite aux affrontements entre les Forces armées de la RDC (FARDC) et la Force de résistance patriotique de l’Ituri (FRPI). Les autorités coutumières des Walendu-Bindi, Bahema Boga et Bahema Mitego, au Sud du territoire d’Irumu, déplorent des cas de vol, et meurtre commis par des miliciens. Selon la même source, les autorités coutumières révèlent également que près des milliers des vaches ont été volées jusqu' aujourd' hui, par de ce même groupe armés des miliciens. Le (FRPI) est l’une des nombreuses milices qui se sont affrontées dans la région dans plus de dix ans à nos jours. Celle-ci fait de nouveau parler d'elle. Les exactions attribuées à ce groupe de miliciens se multiplient. On assiste à une recrudescence des cas de pillages, de vols, viol, massacres des civiles, d'enlèvements et très récemment des cas de viols collectifs. La preuve est que, malgré, l'arrestation de leurs leader Cobra Matata, au tout début du mois de janvier 2016 par l'armée congolaise, la FRPI n'a pas perdu son pouvoir de grande puissance de nuisance. Ils agissent sur un territoire restreint, dans le sud de d'Imuru et sur le mode de la guérilla. Ils mènent des actions ciblées par petits groupes de trois, dix ou vingt combattants. Plusieurs milliers de combattants du groupe avaient été démobilisés et intégrés à l'armée congolaise de 2004 à 2006, mais le groupe s'est reformé à partir de la fin 2007. Au total, on estime qu'ils sont aujourd'hui un millier, dont la moitié lourdement armée. Parmi eux, environ un tiers serait des enfants soldats. C'est dix fois moins qu'il y a dix ans, mais suffisant pour terroriser les communautés et les pousser à déserter des villages entiers. L’absence de réconciliation intercommunautaire et l’impunité pour la grande majorité des crimes commis pendant la guerre. La fois, passé, des négociations avaient bien été entamées en vue d'une reddition. Mais dépuis l'arrestation du leader de la FRPI, Gérmain Katanga et Cobra Matata, la rélation entre les deux partits est au point mort. Les violents combats qui ont opposé les miliciens à l'armée congolaise dépuis, n'ont rien arrangé, les choses. Car, les hommes du FRPI ont quitté le site d'Aveda où ils étaient rassemblés pour se retrancher en brousse où ils agissent désormais éparpillés. Chacun répond aux ordres de petits chefs de groupe locaux, selon une source onusienne. L'armée congolaise, appuyée par la Monusco revendique quelques dizaines de redditions ou arrestations. Mais ce n'est pas suffisant pour affaiblir le groupe. Leurs revendications, restent floues aux yeux de nombreux observateurs. SENSIBILISATION DE LA MILICE A LA PAIX : Avant de quitter la grande agglomération de Bunia pour la ville de Beni dans la zone opérationnelle du Nord-Kivu, le ministre Ngoi Mukena s’est longuement entretenu avec divers représentants des forces vives de la communauté locale d’Ituri. Ainsi, il a recommandé aux parents de, 460 miliciens de FRPI, appelés au Programme de Désarmement, Démobilisation, et Insertion (DDRIII), de se mettre aux pas, avec le Gouvernement pour extraire cette épine du pied, gage de la paix, du développement de l’Ituri, et dela Rdc. Une Commission communautaire pour la paix a été mise sur pied afin de proposer les résolutions possibles pouvant permettre de mettre fin à l’insécurité et aux forces négatives dans l’Ituri, singulièrement en territoire d’Irumu, même aussi l' entité de chefferie Walendu Bindi bastion de la milice FRPI. D’après certaines sources, les éléments de ce groupe armé procèdent, ces derniers temps, à des incursions dans certaines localités situées au Sud du territoire d’Irumu. Objectif, répondre à la sollicitation de la milice de la Force de résistance patriotique d’Ituri (FRPI) de Cobra Matata et de Mbadu Adirodu, actuellement actif. Après deux jours de tractations et de cogitation, la milice FRPI, qui avait sollicité sa réédition pour adhérer aux FARDC, a choisi plutôt de décevoir la délégation des officiers FARDC dépêchée par le ministre Ngoi Mukena. Ce, sous l’œil de la Monusco, dans la localité d’Aveba, située à 65 km de Bunia. Ces miliciens FRPI, indiqué-t-on, exigeaient le port des insignes des grades et d’uniformes avant de déposer leurs armes pour leurs réédition proprement dite. Chose qui s’est avérée impossible. Soudain, le ministre de la Défense, Anciens combattants et Réinsertion, Ngoi Mukena, a mis cette milice devant ses responsabilités au terme de ce rendez-vous manqué. Pourtant réclamé par elle.

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